Livre reçu: Margaret Atwood, Le Dernier Homme


 Couverture

Paris, Robert Laffont (Pavillons), 2005, 392 p.

L’auteure de La Servante écarlate revient à l’anticipation (ce qu’elle conteste !) de belle manière (ce qu’elle ne conteste pas !) avec cette traversée d’un monde écologiquement dévasté. Manipulations génétiques, virus foudroyant, humains « programmés », animaux hybrides… Ne vous laissez pas abuser par le titre : il s’agit bien de la traduction de Oryx and Crake !