Livre reçu: Hedi Thabet, Jeu de miroirs


 Couverture

Saint-Ouen, Les Éditions du Net, 2021, 290 p.

« H. G. Wells, le premier avec Jules Verne, à avoir écrit en science-fiction moderne, était vraiment pessimiste sur l’avenir de l’humain, dans La Machine à explorer le temps. Pierre Boulle l’était aussi, dans La Planète des singes. Peut-on, aujourd’hui, partager le pessimisme de Wells et Boulle sur l’avenir de l’humain ?
Dans ce roman de science-fiction, j’ai, au contraire, rêvé d’une planète stérile conquise par l’homme et transformée en paradis grâce au développement du savoir humain dans des domaines où le terrien vient de faire ses premiers pas, en particulier : l’informatique, la numérisation et la robotique.
Le superman producteur/consommateur arrivera un jour, après avoir connu une grande partie de la réalité de l’univers, à prendre conscience qu’il est impératif de vivre en symbiose avec la nature et l’univers. »