Livre reçu: China Miéville, Celui qui dénombrait les hommes


 Couverture

Paris, Fleuve (outre), 2017, 188 p.

« Comme suspendue dans les airs, la ville est à cheval entre deux montagnes, coupée par un gouffre, réunie par un pont. Un pont dont les orphelins livrés à eux-mêmes ont fait leur royaume. Plus haut dans la montagne, à l’écart de l’agitation de la cité peuplée de marchands, de marginaux et de magiciens, vit le faiseur de clés, avec sa femme et leur enfants. Un jour, son fils déboule dans les rues, comme s’il avait le diable à ses trousses. Son père a tué sa mère, et l’a jetée dans un trou si profond que l’on n’en voit pas le fond, affirme-t-il. Mais faute de preuve, on préfère ne pas le croire. Alors, c’est auprès des enfants du pont que le petit garçon va se réfugier. Jusqu’à ce que son père le retrouve. Heureusement, bientôt, arrive en ville un recenseur, celui dénombrait les hommes… »